Samedi 30 avril
6
30
/04
/Avr
17:34
Sonia La Pouffe, domina et pute occasionnelle, avait eu de bons articles sur le blog de Romemichel, un
web-master bien connu en France (). Voilà déjà quelques mois que j'avais promis à ce Monsieur qui écrit des articles très cochons sur moi et me fais donc une « pub sympa », j'étais donc
quelque part en dette avec lui pour cette « publicité vicieuse».
Me voici donc partie vers son village, nous roulons tranquillement et arrivons sur la place de la mairie du
village pour l'heure du rendez-vous. Un petit coup de fils, Michel arrive, salut mon homme, puis tout de suite me prends les seins à travers ma robe et me les cramponne en m'embrassant. Tout de
suite sa main droite descend et relève ma robe pour s'assurer que, comme d'habitude, je ne porte pas de culotte... Ça commence fort ! Il me doigte copieusement et me malaxe les nichons sur
la place du petit village sans s'occuper de savoir si quelqu'un regarde. Il me lâche puis nous dit : _ Suivez moi, le champagne nous attend _ En voiture ? demande mon homme _ Non je
suis juste à coté... Nous traversons la rue, Michel devant qui marche d'un bon pas, mon homme derrière qui s'amuse à regarder ma robe remontée qui laisse voir les haut de mes bas et le regard des
automobilistes ébahis arrêtés pour nous laisser passer dans les clous. Nous entrons dans un petit immeuble et montons l'escalier.
Comme Michel en profite pour me peloter les fesses car maintenant il me suit dans l'escalier, mon homme,
toujours derrière, nous demande de stopper notre progression pour prendre quelques photos. Nous arrivons devant l'appartement, Michel nous fait entrer. Je n'ai pas le temps d'aller très loin dans
l'appartement, il me saute dessus et me malaxe fermement mes grosses mamelles. Il m'ordonne : _ Fous toi à poils que je vois mon cadeau. Et pendant que rapidement je retire ma robe pour ne
garder que mes bas, de toute façon je ne portais rien d'autre, il en profite pour tendre son appareil photo à mon homme pour que celui ci fasse office de reporter. _ J'ai besoin d'aller aux
toilettes, c'est par où, demandais-je une fois pratiquement nue. _ La porte du fond, me répond mon hôte. J'entre et m'assieds sur la lunette et suis surprise que Michel entre à son tour, suivit
ensuite de mon homme.
Pendant que tu pisses tu vas me sucer ma bite grosse pute, m'ordonne Michel. Et, bien que je ne sois pas
habituée à un tel traitement, et comme j'ai accepté d’être la soumise de Michel lors de nos rencontres, je lui obéis donc et le suce. Mon homme prends les photos sans faire de commentaire, il
essaye d’être le plus discret possible, invisible pratiquement.
Une fois que j'ai finie, je me redresse et retourne dans la pièce, Michel me fais
entrer dans la chambre attenante, puis m'ordonne encore : _ Reste debout que je t'attache tes gros nichons de putain... Et, joignant le geste à la parole, il s'empare d'une petite corde
posée sur une table basse, me malaxe encore une fois le sein droit, puis l’enserre à l'aide de sa cordelette. Ce n'est pas agréable mais encore une fois, m'étant engagée, je me laisse faire pour
faire plaisir à mon fournisseur de public
Puis, visiblement content de son travail, il me dit encore : _ Allez
assieds toi sur le bord du lit tu vas me faire bander salope. !
Et il me place sa queue déjà partiellement en érection dans la bouche sans autre forme de procès. Je m'applique à le sucer au mieux. _ C'est bon ma pute, tes clients
doivent se régaler ! Hein ! En plus on sent que tu aimes ça sucer salope... La bouche pleine ne me permet pas de répondre, mais je hoche doucement la tête sans arrêter ma tétée
d’ailleurs. Puis, en se reculant et me retirant dans la foulée sa bite de ma bouche, il dit encore : _ prépare ma queue pour que je t'encule tout de suite. Je mets en place la capote qui
était sur la table de chevet, sur sa queue bien dure, puis me relève. _ Mets toi à 4 pattes sur le lit que je t'encule grosse chienne. Là encore, en bonne enculée je fais ce que Michel me
demande, je me lève et me mets à genoux en travers du lit.
D'abord à 4 pattes, puis la tête dans les draps de manière à avoir mes mains libres pour écarter me grosses fesses que Michel aime tant, à ce que j'entends de ses
commentaires. Je vais t'enculer ma grosse pute vicieuse dit encore Michel tout en introduisant le bout de sa queue dans mon anus qui ne demande alors plus que ça. Et voilà Michel qui me sodomise
copieusement, vigoureusement mais sans chercher à faire le malin ou à me faire mal. Mon homme lui continue à faire des photos en s'adaptant à nos positions, sans nous déranger dans nos ébats.
J'en prends plein le cul et mon nichon droit me fait un peu mal à ballotter sous les assauts de Michel, j'ai l'impression qu'il est tout froid. Après une bonne chevauchée fougueuse,
Michel ne voulant pas jouir trop vite m'ordonne : _ Allez allonges toi sur le dos que je te bouffe ta grosse chatte de salope en chaleur. Je me remets debout et
m'allonge alors sur le dos en travers du lit. _ Écartes tes cuisses que je vois ton abricot. Puis l'homme s'assied sur le bord du lit et viens me lécher la chatte.
Il passe de la vulve au clitoris, j'adore ! Tout en me mangeant la chatte, il me triture le sein droit qui devient de plus en plus douloureux si bien que
je lui demande de pouvoir le détacher, mais Michel ne veut pas, pas encore me dit il. Pendant de longues minutes il s'occupe de ma chatte avec sa bouche et ses doigts, puis il se relève un peu et
commence à me triturer le ventre en me disant : _ J'aime bien ce gras sur le ventre, c'est bon une grosse salope bien grasse comme toi ma truie...
Et à genoux sur le lit entre mes cuisses, il me triture les mamelles, le bide, les hanches comme si je n'était qu'un tas de viande, et en plus il le dit, me traite
de tas de viande, de grosse truie, d'un tas de noms que je n'aime pas, mais là, dit par Michel, avec son ton, ça passe et s'en est même excitant. Bientôt il me dit : _ Ah je vais baiser ta
chatte de putain, on doit être bien dedans. Et il me tire le cul vers le bord du lit, s'agenouille aussi sur le rebord et me prend directement la chatte. Une fois encore il prend possession de
mon corps doucement mais fermement. Il me lime la chatte pendant de longues minutes. Mon sein droit qu'il presse durement est de plus en plus douloureux et finalement je détache la cordelette,
mais à ce moment là la douleur est encore plus vive, j'espère surtout qu'elle va s'estomper rapidement. _ Maintenant que j'ai ouvert ta chatte je vais y mettre la main, et Michel retire son sexe
pour s’asseoir sur ses jambes et commencer à me masser le clitoris et entrer 4 doigts joints dans ma chatte en feu.
Ce salaud me fist copieusement et me fais couiner comme une jeune chienne en chaleur. Ce fist dur un bon moment, sa main entre et sort, ses doigts vont dans tous les
recoins, et ils m'arrachent de beaux cris que les photos ne savent malheureusement pas encore rendre. _ Maintenant que tu es bien ouverte devant, je vais t'enculer à nouveau annonce Michel
toujours avec cette intonation qui lui est propre. Il s'est relevé, me tend une main secourable, puis ajoute encore : _ A quatre pattes sur le bord du lit que je prenne bien ton gros cul de
pute.
Et voilà Michel repartie à me pilonner l'anus avec sa queue toujours bien raide. Il me sodomise en me plantant son membre bien épais tout au fond, j'en ai même un
peu de mal à ne pas m'écrouler en avant sous ses coups de boutoir. _ T'aimes ça hein te faire ouvrir le cul, hein salope ? _ Hum... Hum... j'ai du mal à répondre car le pilonnage devient de
plus en plus intense. _ Allez ma pute, dis moi que tu aimes ça... Là mon homme s'y met et pour la première fois depuis le début des hostilités (si j'ose dire), j'entends le son de sa voix qui
m'ordonne : _ Dis le que tu es une bonne enculée ! _ Je suis une enculée répétais-je docilement comme par un réflexe pavlovien. Une fois encore, Michel, ne voulant pas jouir tout de
suite, stoppe brutalement sa sodomie et, en reprenant son souffle, me dit alors : _ T'es trop bonne du cul toi ! Si je continue je vais jouir dans ton cul de putain, mais alors, quel
cul ! Quel fourreau !
Si tu veux, mets toi sur le lit, sur le ventre, je vais te faire mon massage érotico-détente Michel ne se fait pas prier, tout en reprenant son souffle, il m'aide à
me relever et prend place sur le lit, cette fois non plus en travers mais bien dans le bon sens, et se détend déjà quelque peu. Je viens me placer à genoux entre ses cuisses et commence à le
masser, doucement avec mes mains pour commencer, puis avec mes seins en me concentrant sur le creux de ses reins et ses fesses. Michel ne bronche plus à ce moment là, il se laisse faire et goûte,
visiblement avec volupté, à mes caresses.
Et comme souvent, j'écarte délicatement ses fesses et passe mon téton sur son anus, tout doucement, mais sûrement, et cela provoque alors chez mon partenaire une
réaction souvent visible ! Je demande alors à Michel de se retourner tout en me relevant doucement, il s'exécute docilement, et je m'installe entre ses cuisses pour venir m'occuper à nouveau
de sa queue toujours bien raide. Je passe ma langue doucement dessus, autour, puis enfourne la belle bite dans ma bouche pour la sucer. De ma main gauche libre j'en profite pour glisser un doigt
dans son anus bien souple. Plus je suce, plus je branle en même temps, et plus je m’enhardis dans l'anus de Michel qui semble bien aimer cela. Un deuxième doigt pénètre dans l'anus dont le
sphincter laisse toujours passer ce corps étranger, puis un troisième doigt. _
Putain ! Tu sais sucer toi au moins, grogne Michel dans un souffle court. Je réponds par un grognement à mon tour, et continue ma pipe royale. Michel commence à
ne plus pouvoir contrôler sa jouissance, il commence à avoir les jambes qui tremblent puis grogne de plus en plus, pour finir dans un grand cri pendant qu'il éjacule à gros jets dans ma bouche
qui enserre sa queue. J'avale son foutre qui a bon goût, chaque foutre à un goût différent, celui là est bon et je ne me force pas pour tout avaler. _ Quelle bonne pute tu es, fini enfin par dire
Michel en reprenant ses esprit après un petit moment dans un silence religieux. _ Ça t'a plu gros cochon que je demande mutinement car j'ai bien sentie son plaisir en moi. _ Ha oui putain !
Tu m'as bien vidé les couilles, quelle grosse salope tu es ! Après quelques moment de conversation à trois, mon homme ayant fini son reportage photo, nous buvons un très bon champagne offert
par Michel. _ Bon, j'ai à faire, je vais aller prendre une douche, tout en disant cela, Michel se lève et s'empare de son porte monnaie duquel il retire 1 billet de cinquante euros en
ajoutant :
C'est pour le voyage, mais comme tu es une bonne pute je veux une photo avec le bifton dans ton cul salope... Puis, sous les directives de Michel et de mon homme, je
me penche en avant, les fesses bien en arrière, et je sent le billet placé entre mes fesses. Quelques clichés, puis je me redresse et mes deux salauds de mecs se marre en voyant que le billet est
resté collé contre ma peau. _ Bon allez ma pute, dépêches toi de t'habiller j'ai à faire. L'ordre est clair, je remet prestement ma robe, toujours nue, à l’exception de mes bas, pendant que mon
homme replie son matériel, appareil photos et caméscope et discute avec Michel. Quand je suis prête, Michel vient m'embrasser à nouveau, ressort mes mamelles, comme il dit si bien, de ma robe, et
me dit : _ Allez ma pute, tu vas sortir comme ça, les mamelles à l'air, que tout le monde voit la bonne pute que tu es... J'espère te revoir bientôt, je vais te faire un bon article sur mon
blog... _ Quand tu veux Michel, dis-je en ouvrant la porte, la robe baissée laissant mes gros seins bien en évidence. Il me claque une dernière fois le cul en disant encore qu'il aime mon gros
cul de pouffiasse, et me voilà dans le couloir direction le parking, suivi par mon homme qui ne tarde pas à me prendre la main. Petite joueuse aujourd'hui, je replace mes seins dans la robe avant
de sortir sur la rue.
Par romemichel21
0
Derniers Commentaires